Après Tout… il restera NOUS est un projet artistique et citoyen qui explore l’engagement et la mobilisation citoyenne auprès des élèves du troisième cycle du primaire. Dans un contexte où la crise écologique actuelle laisse entrevoir l’effondrement du monde dans lequel nous vivons, ce projet cherche à surpasser la fatalité de la collapsologie, et ce,en explorant des manières concrètes d’agir et de se projeter dans le temps. Parce qu’aprèscette soi-disant fin, les générations futures seront toujours là, et il importe aujourd’hui de leur offrir les moyens d’éprouver une confiance en l’avenir.
De cette prémisse découle la pièce de théâtre Après tout de l’auteur Pascal Brullemans, ainsi qu’un projet de médiation engagé et engageant. Les deux volets vont de pairs : la pièce, en incarnant les enjeux abordés ci-haut, agit à titre de levier de réflexions et de discussions tout en stimulant l’imagination des élèves. Le projet de médiation, quant à lui, va au-delà de l’univers de la pièce en donnant aux élèves l’occasion de sonder leur propre rapport à l’engagement tout en leurs offrant la possibilité de poser différentes actions artistiques et citoyennes. Parce que – comme le dit l’écologiste Laure Waridel – le meilleur remède contre l’éco-anxiété, c’est de poser un geste.
Le projet de médiation
1. Atelier philosophique en classe : Ensemble, on peut faire quoi? (60 minutes)
En amont de la présentation de la pièce en classe se tiendra un atelier animé par les interprètes-médiatrices – celles-là mêmes qui interpréteront Martine et le Double. Cet atelier ne sert pas que de préparation au spectacle, mais se veut un véritable dialogue philosophique sur la notion d’engagement : S’engager, ça veut dire quoi? Qu’est-ce que ça implique? Quels sont les différents types d’engagements? Que serait la vie si on ne s’engageait pas? S’amuser VS Travailler. Est-ce que ça peut exister ensemble ? Est-ce qu’il faut toujours respecter les règles ? Obéir c’est quoi ? Et la désobéissance ? L’idée n’est pas d’enseigner aux jeunes ce qu’est l’engagement, mais de creuser le concept – ensemble – entre possibilités et limites. Parce que s’engager peut aussi prendre la forme de l’inaction et de la passivité… tout comme le fait le Double de Martine.
2. Présentation de la pièce Après tout en classe (45 minutes) suivie d’un échange avec les interprètes autour du théâtre, de l’œuvre et de ses enjeux. (30 minutes)
Synopsis : Martine est terrorisée par l’effondrement et cherche désespérément des solutions, pendant que son Double veut faire la fête, profiter de la vie. La cohabitation entre ces deux versions d’une même personnalité n’est pas sans créer quelques frictions. Surtout lorsqu’elles sont obligées de s’unir pour affronter ce qui semble être la fin d’un monde.
Écrite par l’auteur Pascal Brullemans et mise en scène par Nini Bélanger, l’originalité de cette pièce interprétée par deux interprètes tient du fait qu’elle se joue à même les classes. Ainsi, ce ne sont pas les jeunes qui vont au théâtre, mais le théâtre qui s’insère dans la vie des élèves.
3. Création d’écriteaux, de pancartes et de banderoles + participation à la grande marche du Jour de la Terre
En compagnie d’une artiste visuelle, les élèves seront invité.e.s à créer des pancartes, des bannières et des slogans en vue de leur participation à la Journée de la Terre qui aura lieu à Montréal le 22 d’avril 2024. Une journée festive et engagée à laquelle toutes les classes des écoles participantes seront conviées à prendre part sous la bannière Après Tout… il restera NOUS!
Un projet en coproduction avec la Maison Théâtre
Après Tout… il restera NOUS est un projet artistique et citoyen qui explore l’engagement et la mobilisation citoyenne auprès des élèves du troisième cycle du primaire. Dans un contexte où la crise écologique actuelle laisse entrevoir l’effondrement du monde dans lequel nous vivons, ce projet cherche à surpasser la fatalité de la collapsologie, et ce,en explorant des manières concrètes d’agir et de se projeter dans le temps. Parce qu’aprèscette soi-disant fin, les générations futures seront toujours là, et il importe aujourd’hui de leur offrir les moyens d’éprouver une confiance en l’avenir.
De cette prémisse découle la pièce de théâtre Après tout de l’auteur Pascal Brullemans, ainsi qu’un projet de médiation engagé et engageant. Les deux volets vont de pairs : la pièce, en incarnant les enjeux abordés ci-haut, agit à titre de levier de réflexions et de discussions tout en stimulant l’imagination des élèves. Le projet de médiation, quant à lui, va au-delà de l’univers de la pièce en donnant aux élèves l’occasion de sonder leur propre rapport à l’engagement tout en leurs offrant la possibilité de poser différentes actions artistiques et citoyennes. Parce que – comme le dit l’écologiste Laure Waridel – le meilleur remède contre l’éco-anxiété, c’est de poser un geste.
La pièce
Martine est terrorisée par l’effondrement et cherche désespérément des solutions, pendant que son Double veut faire la fête, profiter de la vie. La cohabitation entre ces deux versions d’une même personnalité n’est pas sans créer quelques frictions. Surtout lorsqu’elles sont obligées de s’unir pour affronter ce qui semble être la fin d’un monde.
Écrite par l’auteur Pascal Brullemans et mise en scène par Nini Bélanger, l’originalité de cette pièce interprétée par deux interprètes tient du fait qu’elle se joue à même les classes. Ainsi, ce ne sont pas les jeunes qui vont au théâtre, mais le théâtre qui s’insère dans la vie des élèves.
Par ici pour en savoir plus sur le projet de médiation
Un fait divers d’une brutalité sans nom : un jeune homme tue un étranger rencontré en ligne. Il outrage le corps, filme et diffuse son crime qui sera partagé par des milliers d’internautes horrifié·es, mais fasciné·es. Pour le meurtrier, ce geste horrible dresse les fondements d’une nouvelle société numérique. De quoi ce discours mégalomane est-il le symptôme? Quelles vérités se cachent derrière la figure du monstre?
Homicide propose une plongée vertigineuse dans la psyché d’un garçon qui cherche à combler son besoin insatiable d’exister, se repaît dans la contemplation de sa propre image et s’affaire à construire une mythologie personnelle. Pour faire ce voyage, il faudra s’interroger sur notre rapport à l’autre, au désir, à la cruauté et éclairer nos parts d’ombre. C’est le prix à payer pour redonner aux victimes, trop souvent oubliées, leur dignité.
L’auteur Pascal Brullemans et la metteuse en scène Nini Bélanger poursuivent une démarche qui explore la matière documentaire. Inspiré d’une histoire réelle, le texte réorganise les faits pour sonder les enjeux identitaires métamorphosés par la révolution numérique. Dans un univers où réalité et fiction se confondent, Homicide invite le public à faire des allers-retours entre les méandres du web et la commémoration sacrée, entre l’inhumanité et la compassion. L’acteur Dany Boudreault offre « l’une des plus fortes performances de sa carrière » (La Presse) dans cette partition à la hauteur de son talent, un récit polyphonique oscillant entre l’horreur et le fantasme, révélateur d’une société sous influence.
C’est en s’inspirant du roman Les belles endormies, de l’auteur japonais Yasunari Kawabata, que Nini Bélanger a créé les trois productions qui composent le premier cycle de pièces présentées par sa compagnie. Tout au long de ce travail, la metteuse en scène poursuit une réflexion sur l’érotisme et la mort à travers un récit sombre et émouvant qui raconte les visites d’un vieil homme dans une maison de prostitution offrant à ses clients un contact avec des jeunes filles endormies.
Les belles endormies
La première étape du cycle Endormi(e) coïncide avec la mise en scène de fin d’études de Nini Bélanger à l’ENTC. Il s’agit d’une adaptation fidèle du roman de Kawabata. Lors de sa création, la distribution est confiée à Robert Lalonde, Marie Michaud et Catherine-Amélie Côté.
Expo performance
Avec ce deuxième volet, la metteuse en scène explore la même thématique sous un angle complètement différent, organisant cette fois une exposition de photos servant de décor à une performance où elle dirige des non-acteurs. Cette deuxième étape du cycle est présentée à Espace libre dans le cadre du OFFTA 2008.
Endormi(e)
En poussant plus loin le concept d’hyperréalisme développé lors des productions précédentes, Nini Bélanger choisit de présenter la troisième étape du cycle dans un espace non théâtral, soit une maison du quartier Hochelaga. Cette nouvelle expérience exige une adaptation contemporaine du roman pour transposer l’action dans un contexte nord-américain. Le spectacle reprend l’affiche l’année suivante au théâtre La Chapelle. Cette dernière version du spectacle, plus sombre et plus fouillée, permet à Nini Bélanger de souligner la solitude du personnage qui attend la mort en compagnie de la jeune fille endormie. La pièce a reçu le prix de la meilleure mise en scène décerné par l’association Carte prem1ère.
Les histoires ont la mauvaise habitude de commencer bien avant notre arrivée. C’est le cas de Vipérine qui doit régler les problèmes de sa sœur décédée dont l’âme est prisonnière de l’arbre aux rubans. Commence alors une épopée qui mènera l’enfant jusqu’au royaume des ombres, sous l’œil d’un narrateur mystérieux.
En abordant de front les thèmes de la résilience et du deuil, la production se révèle étonnamment drôle et lumineuse. En suivant les péripéties rocambolesques de l’héroïne, le public est conquis par sa furieuse envie de vivre et plonge avec elle dans cette quête fantastique pour se délivrer de la souffrance.
Pascal Brullemans et Nini Bélanger forment un couple dans la vie en plus d’être auteur et metteuse en scène. En janvier 2001, ils ont vécu ensemble la perte de leur deuxième enfant. Avec Beauté, chaleur et mort, ils remontent le fil de ces événements pour décortiquer leur état de détresse post-traumatique. Que faire, comment se comporter dans les minutes, les heures, les jours qui suivent ? Quoi dire, quoi être quand l’univers s’arrête ? Et comment le représenter, dix ans plus tard, sur scène ? Poème viscéral sur la résilience, ce spectacle, à la fois récit, témoignage et questionnement, explore les zones troubles qui existent entre représentation et réalité.
Beauté, chaleur et mort est publiée chez Lansman Éditeur.
L’inspiration de cette performance prend sa source dans un lieu réel : la Plaza Côte-des-Neiges, un centre commercial devenu lieu de rassemblement pour les communautés de l’arrondissement le plus multiethnique de Montréal. Ce lieu emblématique d’une réalité immigrante suscite un questionnement sur l’intégration des nouveaux arrivants dans notre société. Quelles sont les motivations qui poussent les communautés à se rassembler dans un espace commercial plutôt que dans un lieu culturel ? Qu’est-ce que cela révèle sur la société d’accueil ? PLAZA propose un travail qui intègre acteurs et non-acteurs dans un espace réel. La performance modifie le rôle du spectateur en le plaçant volontairement dans une situation où il doit départager le vrai du faux, tout en étant lui-même observé par les usagers réguliers de la Plaza.
Réussir à faire basculer le regardeur/spectateur/consommateur en un regardeur/spectateur/citoyen. Faire se rencontrer artistes, résidents du quartier et public du FTA. Avec PLAZA, Nini Bélanger va à la rencontre du « Nous » montréalais tout en poussant dans ses extrêmes sa démarche hyperréaliste.
« Mais ma splendide jeunesse ! Y en a-t-il de plus belle dans ce monde ? Quel matériel humain ! Avec eux, je pourrai construire un nouveau monde. » – Adolf Hitler
S’inspirant de contenus partagés sur les médias sociaux, Splendide Jeunesse est un objet visuel non répertorié qui questionne les limites de ce à quoi nous adhérons. Cette collection de tableaux drôles et dérangeants est présentée sous forme non hiérarchisée pour reproduire la sensation d’une expérience de navigation, laissant au spectateur la liberté de faire ses propres liens.
Cette forme permet au projet de mettre en lumière des perles d’humanité cachées dans le cosmos numérique, ainsi que la difficulté de vivre dans un monde ouvert où tout est accessible, que ce soit la violence assourdissante ou la beauté qui ravive l’espoir.
Se déployant dans un univers symbolique et épuré, Petite Sorcière – quatuor met en scène quatre acteurs inspirés entrainant les spectateurs dans une véritable quête. Racontée comme un thriller fantastique, cette œuvre aux multiples niveaux de sens et d’interprétations tient les spectateurs en haleine : comment Petite Sorcière va-t-elle se sortir des griffes de l’ogre dévoreur ?
Petite Sorcière est un spectacle qui s’amuse à tordre les codes du conte pour enfants pour nous raconter, avec un brin d’humour et quelques frissons, une histoire fantastique de résilience et de courage.
La version quatuor du conte se déploie sur grand plateau avec 4 interprètes de feu, des chats sur écrans plasma et plein de rebondissements.
Petite Sorcière est publié chez Lansman Éditeur.
Tout peut survenir dans cette chambre intrigante où les enfants sont invités à ouvrir grand leurs oreilles pour voir apparaître des êtres fabuleux. Tout près d’eux, une comédienne donne vie aux personnages plus grands que nature de cette fable envoûtante. Grâce à la magie de sa voix transformée par des jeux sonores, elle nous transporte au plus profond de la forêt où nous assistons à l’affrontement final entre Petite Sorcière et l’Ogre.
Petite Sorcière est un spectacle qui s’amuse à tordre les codes du conte pour enfants pour nous raconter, avec un brin d’humour et quelques frissons, une histoire fantastique de résilience et de courage.
Cette version solo, présentée en petite jauge, est une fable auditive portée par une actrice virtuose qui incarne tous les personnages.
Petite Sorcière est publié chez Lansman Éditeur.
FESTIVAL OFF AVIGNON
Petite Sorcière fait partie de la programmation du FESTIVAL OFF AVIGNON 2025 !
Dates du 8 au 23 juillet (relâche les 13, 20 juillet)
Heure 15h30
Lieu LE TOTEM – ART, ENFANCE, JEUNESSE, salle Rouge Cerise (S’y rendre)
Plus d’informations
BALADO
En collaboration avec La puce à l’oreille et les studios Bakery, Petite Sorcière existe également en format audio. Suivez les aventures de Petite Sorcière et laissez-vous transporter au plus profond de la forêt au travers cette expérience sonore.
Écouter le balado